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Du vide.
18 septembre 2011

Finimal.

Week-end décadent - adolescent. Absolument.
Des bras, des lèvres, des coeurs, qui se brisent, qui se croisent, qui se veulent et qui se perdent.
Jusqu'au matin, avec les écarts et les retards qui s'ajoutent.
Je suis en décalage, totalement décalé ; je suis amoureux, triste et serein.
Reste les pointillés sur mon poignet. Personne n'a revu la boule.
Sauf mon ventre. Et j'en garde le sourire.

La douleur, l'insomnie a-t-elle précipité la fin ?
Peu d'importance.
J'invente l'avenir.

Je rêve à nouveau. Il suffit de dormir trop.
Comme un film : aventure, action, drame et horreur.
Je déborde d'idée. Un Giacometti et la lettre pour accompagner les pirates.
Et puis, X. F. D. de L., ce qui est un pur nom de héros.
J'ai des phrases dans la tête, sur l'horreur et la naïveté, la souffrance, la résilience, et une magnifique aventure, merveilleuse, solaire. Tout ça est flou, mais j'ai la tête qui déborde.

Thé, pétard, café, manque de sommeil.
Il faudrait aussi vous parler de cette histoire un peu sordide de Valium.

A perte de vue, totalement.

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