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Du vide.
29 septembre 2011

Mystery train.

Là. Un instant, et c'est la chose la plus intense depuis des jours, j'ai envie de sang, partout, d'arracher ta peau, de déchirer les morceaux, les miens, tout est flou, rouge, violent ; j'ai un pic de cruauté, une haine furieuse au fond des yeux. Je hais...
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29 septembre 2011

- Laisse-moi dormir. Dormir est mon passe-temps

- Laisse-moi dormir. Dormir est mon passe-temps préféré.- Tu dors beaucoup trop. Tu passes la moitié de ta vie dans tes rêves.- C'est vrai, mais dormir est quelque chose de vraiment divin. Et puis quand tu meurs, tu ne peux plus dormir, et donc, plus...
28 septembre 2011

So sweet.

Plutôt que de vous raconter les petites histoires de mon coeur, les subtiles étreintes qui se glissent dans mes nuits, il faudrait un jour que puissiez voir l'envers de ma tête ; dans les entrailles de mon esprit règnent le froid et la nuit, l'orgueil...
23 septembre 2011

Fallait se serrer, comme une forêt vierge.

J’voulais t’aimer comme personne n’aimerait. C’était écrit, ça s’est gravé au plus profond. Croire, croire jusqu’à le perdre, et croire encore. Les fins c’est toujours le plus facile à voir, au début. Et doucement on s’en éloigne, on oublie l’évidence,...
18 septembre 2011

Finimal.

Week-end décadent - adolescent. Absolument.Des bras, des lèvres, des coeurs, qui se brisent, qui se croisent, qui se veulent et qui se perdent. Jusqu'au matin, avec les écarts et les retards qui s'ajoutent. Je suis en décalage, totalement décalé ; je...
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15 septembre 2011

Tous les mots disent la même chose.

J'ai des pages de silence à ne pas écrire. Ca viendra, ailleurs. Ou ça ne sera que pour moi.Allons savoir. J'ai l'impression qu'en fermant les yeux [...]Mais c'est des conneries globalement.
15 septembre 2011

I'm afraid of everyone.

- Tu trouves que je sonne faux, toi ?- Non, t'es capricieux, impatient et amoureux. Et bientôt schyzophrène, si ça continue. Dors.
13 septembre 2011

Faisonsenvie.

Le retour, ici, est terrible ; de vide, de douleur, d'absence. Sans lien, je crois. Se mêlent habilement, des fourmis hystériques, le manque de tes mains et de tes mots, et cette douleur que j'oublie heureusement entre chaque occurence et qui me déchire...
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