17 mars 2012
Nuit sur fin de Cambodge.
Il y a ce fil qui montre les heures qui passent, le mouvement des étoiles, et je regarde les étoiles, j'invente des constellations, le scorpion, l'arc, le papillon, et les étoiles brillent, et me regardent aussi, et ne voit rien, un vide lointain, petit, sombre, sans espoir, sans intérêt ; les étoiles me voient et se fichent, elles rient, parce qu'elles brillent et dessinent, et vivent ; et presque jamais ne meurent, elles.
J'regardtjslesétoiles, tu sais.
Et je ne compte plus les années.
Publicité
Commentaires