28 mai 2011
A perte de vue.
Je sombre dans une délicieuse sérénité. Les passions s'éteignent, - le téléphone vibre mais je ne décroche pas - s'évitent. J'abrutis le manque, j'enveloppe les fantômes d'un nuage voluptueux et gris. Je n'ai plus peur du vide, un instant. J'y pense sans...